"Je ne peux pas spéculer sur la question de savoir si nous aurons ou nous un autre référendum" a déclaré Brian Cowen, le premier ministre irlandais.

Le député souverainiste Nicolas Dupont-Aignan a dénoncé vendredi le "culot" des dirigeants européens qui veulent faire revoter les Irlandais après leur non au traité de Lisbonne, quand eux-mêmes ont "contourné le suffrage universel en interdisant des...

Les Français toujours partagés vis-à-vis de l'Union européenne.

Le Premier ministre irlandais Brian Cowen a refusé vendredi de "spéculer" sur la possibilité d'organiser un nouveau référendum sur le traité de Lisbonne après le "non" du 12 juin dernier.

Nicolas Sarkozy a souhaité jeudi que les Irlandais fassent un rapport sur les suites à donner à leur rejet du traité de Lisbonne lors du prochain conseil européen en octobre.

L'Irlande, qui doit présenter à ses partenaires européens des pistes pour surmonter son "non" au traité de Lisbonne, a estimé jeudi qu'il n'y aurait pas de solution sur la table au Conseil européen d'octobre.

Le chef de l'État participe ce soir à Bruxelles au dernier Conseil européen avant le début de la présidence française de l'UE. » Le traité ratifié par le Royaume-Uni

EUROPE L'ancien président de la République Valéry Giscard d'Estaing estime que les Irlandais, qui ont rejeté par référendum le traité de Lisbonne, doivent soit «revoter», soit négocier «un accord d'exception» pour ne pas bloquer le processus d'intégration de... Publié le 19.06.08 à 10h15

Lors du premier jour du sommet européen de Bruxelles , jeudi, le Premier ministre irlandais Brian Cowen a réclamé du temps après le rejet...

Le Premier ministre irlandais, Brian Cowen, a lancé un appel au calme mardi avant le conseil européen de la fin de la semaine qui doit se pencher sur la crise ouverte par la victoire du "non" au référendum irlandais sur le traité de Lisbonne.

Les différents pays de l'Union européenne cherchent, en douceur, une issue à la crise des institutions. Ils plaident l'accident de parcours qu'il faut analyser avec sang-froid tout en soulignant le respect dû au résultat du vote irlandais.

Tandis que les dirigeants de l'Union européenne cherchent des solutions pour sortir de l'impasse, le premier ministre irlandais veut éviter que son pays soit mis à l'écart.

Brian Cowen, tout frais Premier ministre irlandais, se voit déjà confronté à sa première crise majeure, suite au rejet par son peuple du Traité de Lisbonne.

Après la nette victoire du "non" en Irlande vendredi, le Conseil européen des 19 et 20 juin devrait être l'occasion pour les autres pays de l'Union européenne de réaffirmer leur volonté de maintenir le traité sur les rails.

53,1 % des électeurs se sont rendus aux urnes et, à une forte majorité, 53,4 % contre 46,6 %, ils ont coché la case du non.

Les tenants du "non" en France, à droite comme à gauche, se sont réjouis vendredi du rejet annoncé en Irlande au traité européen de Lisbonne, soulignant le fossé entre les dirigeants et les citoyens européens.

La Nouvelle-Zélande a infligé quatre essais et une leçon de réalisme (37-20) à l'Angleterre, vaillante mais dépassée pour les débuts à distance de l'entraîneur Martin Johnson, samedi à Auckland lors du premier test-match entre les deux équipes.

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En rejetant largement le traité de Lisbonne par référendum, les Irlandais fragilisent la présidence française de l’Union.

pour le "oui". Après le rejet du Traité constitutionnel en 2005, la victoire du "non" plonge l'UE dans une grave crise institutionnelle. Paris et Berlin appellent à la poursuite de la ratification.

Le "non" l'a emporté lors du référendum de jeudi sur le traité européen de Lisbonne, par 53,4%, contre 46,6% pour le "oui", selon les résultats officiels, cités vendredi par la chaîne publique irlandaise RTE.

par Yves Clarisse BRUXELLES (Reuters) - Le "non" irlandais au traité de Lisbonne replonge l'Union européenne dans une profonde crise institutionnelle, mais la décision des autres pays de poursuivre la ratificati...

Les tenants du "non" en France, à droite comme à gauche, se sont réjouis vendredi du rejet annoncé en Irlande au traité européen de Lisbonne, soulignant le fossé entre les dirigeants et les citoyens européens.

Après la victoire certaine du "non" irlandais au référendum sur le traité de Lisbonne, Paris et Berlin ont "pris acte de la décision démocratique des citoyens irlandais avec tout le respect qui lui est due, même si nous le regrettons".

L'Irlande aura du mal à convaincre les autres pays de l'Union européenne de renégocier le traité de Lisbonne, rejeté par référendum jeudi par les électeurs irlandais, a déclaré vendredi le ministre irlandais des Finances, Brian Lenihan.

Jeudi, un peu plus de 3 millions d'électeurs étaient appelés aux urnes. Aucun chiffre de participation n'a été diffusé, mais celle-ci est...

Selon les dernières estimations de la RTE, la radiotélévision publique irlandaise, le "non" au traité de Lisbonne l'emporte dans 38 des 43 circonscriptions que compte le pays.

Le dépouillement partiel du scrutin irlandais sur le traité de Lisbonne laisse envisager une nette victoire du “non”. Le décryptage de notre correspondant à Bruxelles, Jean Quatremer.

Selon un premier décompte officieux, le "non" l'emporterait en Irlande lors du référendum sur le Traité de Lisbonne.

Le traité doit être adopté dans l'ensemble des 27 pays de l'UE pour entrer en vigueur. Les 26 autres États membres de l'Union ont opté pour...

Le ministre irlandais de la Justice a admis à la mi-journée la victoire du "non" au référendum sur le traité de Lisbonne, a indiqué la télévision irlandaise.

DUBLIN (Reuters) - Les Irlandais ont rejeté le traité européen de Lisbonne à l'occasion du référendum qui était organisé jeudi, a reconnu le ministre de la Justice du pays, Dermot Ahern.

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La participation au référendum sur le traité de Lisbonne ne dépasserait pas 45%, un chiffre qui, selon les analystes, devrait favoriser le "non". Les résultats sont attendus dans la journée.

Selon un premier décompte officieux, le "non" arriverait en tête du référendum irlandais sur la ratification du traité de Lisbonne. Après le rejet du Traité constitutionnel en 2005, une victoire du "non" plongerait probablement l'Union européenne dans la crise institutionnelle la plus grave depuis sa création. A trois semaines seulement de la présidence française, l'UE semble dans l'impasse.

A Dublin, plusieurs sources donnent le «oui» en situation délicate. Mais il faudra encore attendre plusieurs heures avant de connaître les résultats définitifs.

Nicolas Sarkozy a rappelé vendredi que Paris et Berlin réagiraient ensemble à l'issue du référendum irlandais sur le traité de Lisbonne.

Selon la radio-télévision publique irlandaise RTE, le "oui" a des chances de s'imposer dans seulement six des 43 circonscriptions. Un non ouvrirait la voie à une nouvelle crise institutionnelle européenne. Le résultat définitif devrait n'être connu qu'en fin d'après-midi.

Même en cas de "non" irlandais au traité de Lisbonne, le processus de ratification dans les autres pays européens doit se poursuivre, a déclaré vendredi le secrétaire d'Etat chargé des Affaires européennes, Jean-Pierre Jouyet.

Paris et Berlin ont déjà prévu de réagir ensemble à l'annonce des résultats du référendum qui, selon les premières estimations, risque d'être un échec et de compromettre les projets de réforme de l'UE. » INFOGRAPHIE - La ratification du traité de Lisbonne en Europe » BLOG - Le vote irlandais agite le PS

Les Européens ont le regard braqué sur l'île, le oui et le non étant au coude à coude dans les sondages. Le taux de participation avoisinerait les 40%.

Le "non" semble assuré de l'emporter au référendum sur le traité européen de Lisbonne, a affirmé la RTE.

La participation au référendum sur le traité de Lisbonne ne dépasserait pas 45%, un chiffre qui, selon les analystes, devrait favoriser le "non". Les résultats sont attendus dans la journée.

EUROPE. «IL FAUT que le oui gagne. Et il va gagner ! » Joseph Deery est né il y a trente-cinq ans, l'année même où l'Irlande rejoignait l'Union européenne. Accoudé au bar d'acajou du Lisboo, un gigantesque pub de Dundalk, localité du nord de la République... Publié le 12.06.08

Selon une estimation de la chaîne publique de télévision RTE, les Irlandais se sont déplacés timidement aux urnes.